Y’a
comme un’ musique qui tangue
Un
goût qui m’ pique sur la langue
Y’a
comme une imag’ qui s’ dessine
Un
visage que j’imagine
Toujours
le mêm’, toujours le tien
Et
puis tes mains, et puis tes seins
Et
puis soudain, soudain plus rien...
Et
puis soudain, soudain plus rien...
Y’a
comme un brouillard qui te cache
Une
aquarell’ pleine de taches
Et
puis déjà je me réveille
Les
yeux qui flottent au soleil
Et
tout redevient inutile
Dans
la solitude des villes
Je
me souviens seul’ment de toi
Je
reviendrai sans doute un soir...dans tes bras.
Pascal GERMANAUD
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