Pas
deux poids deux mesures
C'est
la caricature
D'une
autre dictature
Sur
notre territoire
Nous
avoir à l'usure
Nous
jeter en pâture
Sans
nulle fioriture
Aux
Démons de l' Histoire
C'est
l'effet « Pavillon »
Des
grosses pointures
Sans
être tatillon
Sans
nous voir en peinture
Nous
mener en bateau
Sans
nous montrer la mer
Partager
le gâteau
Entre
nobles et maires
Nous
laisser en fardeau
Le
pénible et l'amer
Le
Monde sur le dos
Des
espoirs éphémères
C'est
l'effet « Pavillon »
Des
grosses pointures
Sans
être tatillon
Sans
nous voir en peinture
De
coups bas en couteaux
Remués
dans nos plaies
Pour
de plus chauds manteaux
Pour
des vestons complets
Nous
rire au nez coulant
Pour
mieux nous fair' le noeud
Et
nous laisser, ballants,
Crever
comme des pneus
C'est
l'effet « Pavillon »
Des
grosses pointures
Sans
être tatillon
Sans
nous voir en peinture
Point
de dilemme houleux
Pour
nos heureux élus
C'
qui est à nous est à eux
Le
contraire est exclus
Pas
deux poids deux mesures
C'est
la caricature
D'une
autre dictature
Qui
nous a à l'usure.
C'est
l'effet « Pavillon »
Des
grosses pointures
Sans
être tatillon
Sans
nous voir en peinture.
Le 6/11/10.
Pascal GERMANAUD
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