Au diable le crétin en mal
de tolérance
L’un des maux qui déteint de
toute cohérence
Il se dit bon chrétien, ne
pense qu’à sa panse
Aux bull’tins qu’il obtient
et à ses récompenses
Il profite à outrance
Des malheurs et souffrances
D’autrui
C’est au nom de la France
Du Pays
Qu’il est Lui
Au diable le microbe et sa
haute arrogance
Le noble à l’état snob au
concours d’élégance
Soignant sa garde-robe et
son look bien tendance
Et au fond homophobe car de
toute évidence
Il profite à outrance
Des malheurs et souffrances
D’autrui
C’est au nom de la France
Du Pays
Qu’il est Lui
Au diable le Ministre et sa
condescendance
Au costume sinistr’, preuve
de dépendance
A la connerie rustr’ sans
souci d’allégeance
Pour des âmes qui frustr’nt
sa quêt’ d’intelligence
Il profite à outrance
Des malheurs et souffrances
D’autrui
C’est au nom de la France
Du Pays
Qu’il est Lui
Au diable l’Intérieur de cet
être si rance
Il est humain… erreur !
Il est l’indifférence
La poignée sur le cœur, le
cœur en pénitence
Dans un coin de candeur à
vomir sa pitance
Il profite à outrance
Des malheurs et souffrances
D’autrui
C’est au nom de la France
Du Pays
Qu’il est Lui.
Le 17/01/12.
Pascal GERMANAUD
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