Roy Kar sur Noomiz
- « Quand je serai
grand, je voudrais
Etre pompier,
vétérinaire »
- « Moi, plus grande,
je soignerai
Tous les enfants et les
grands-mères »
- « Quand je
serai un homme, un vrai
Jongleur au milieu des
étoiles
Je jouerai, je hisserai
Mon drapeau noir et la
grand-voile »
- « Moi quand je serai
une femme
Je voudrais être une
princesse
Avec, dans le cœur, une
flamme
Aux étincelles de
tendresse »
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
jaloux, sans doute !
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
proches qui doutent !
- « Quand je serai immense,
adulte
Je deviendrai un magicien
J’inventerai la catapulte
A envoyer les méchants au
loin »
- « Moi je serai fée du
joli
Avec de longs cheveux
bouclés
Et j’enverrai les malpolis
Loin de ma maison de
poupées »
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
jaloux, sans doute !
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
proches qui doutent !
- « Quand je serai
vieux, comme on dit
A dix-huit ans et plus
encore
Vous serez tous au Paradis
Et moi le Roi dans le
décor »
- « Moi je serai là
aussi
Sur les planches, amoureuse,
actrice
Avec des
« bravo », des « merci »,
Dans mes yeux, des feux d’artifices
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
jaloux, sans doute !
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
proches qui doutent !
- « Quand j’aurai l’âge
d’être seul
Avec mes feuilles et mes
papiers
J’écrirai ce que d’autres
veulent
La liberté et
l’amitié »
- « Moi je lirai tes
poèmes
… J’en ferai des chansons
Pour ceux qui nous croient,
nous aiment
Fiers de nous, de nos
passions ! »
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
jaloux, sans doute !
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
proches qui doutent !
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
proches, sans doute !
Mais il y’a toujours en
travers d’ la route
Des briseurs de rêves… Des
gens qui s’en foutent !
Pascal GERMANAUD
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