Pour
te dire que même
Si
tu m’as fait souffrir
Je
t’avoue que je t’aime
Je
t’aime pour le pire
Pour
le meilleur je doute
Que
tu sois sur ma route
Mais
je t’aime coûte que coûte
Tu
as beau clamer tes reproches
Je
reste là dans mon cocon
J’attends
que ton coeur me soit proche
Et
tatillon
Je
vois tes yeux bleus dans mes poches
Comme
des billes ou des bonbons
Je
me retransforme en Gavroche
En
petit con
Nous
étions fous, rappelle-toi
Te
souviendras-tu d’autrefois ?
On
était trop heureux
On
tournait la tête aux peureux
On
tournait la tête aux peureux.
Pour
te dire que même
Si
tu m’as fait souffrir
Je
t’avoue que je t’aime
Je
t’aime pour le pire
Pour
le meilleur je doute
Que
tu sois sur ma route
Mais
je t’aime dans la déroute
Je
ne crois pas toucher le fond
J’ai
beau avoir raté le coche
Où
nous couchions
Je
sangloterai comme un mioche
Pour
te demander le pardon
Je
sais que sans toi je suis moche
A
l’abandon
Nous
étions jeunes, souviens-toi
Te
rappelleras-tu de moi
On
était trop heureux
On
tournait la tête aux peureux
On
tournait la tête aux peureux.
Le
26/08/96.
Pascal GERMANAUD
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire