Quand on atteint la
quarantaine
On affirme son caractère
On lit des bouquins par
centaines
Et le sport devient un
calvaire
On approch’ d’un âge
critique
Où le Monde nous intéresse
La guerre ailleurs, la
politique
Et l’embêtement de la
graisse
On s’aperçoit qu’on a du
ventre
Pour y faire face…on le
rentre !
On s’aperçoit qu’on a du
ventre
Pour y faire face…on le
rentre !
Quand on promèn’ sa
quarantaine
Dans un « after »,
on le constate
L’ecstasy gagn’ sur le
Vasten
Et on se titill’ la prostate
On a l’esprit d’un
pantouflard
On approch’ d’un âge morbide
On ronfle en cultivant son
lard
Et la libido fait un bide
On s’aperçoit qu’on a du
ventre
Pour y faire face…on le
rentre !
On s’aperçoit qu’on a du
ventre
Pour y faire face…on le
rentre !
Quand on balade sa carcasse
Sur une plag’ de sable chaud
On ne gard’ pas que les
godasses
On se cache sous un poncho
C’est la balade des deux
tonnes
Dans un dédal’ de jolies
filles
On enlèv’ quoi ? On se tâtonne
Et final’ment on fait
l’anguille
On s’aperçoit qu’on a du
ventre
Pour y faire face…on se
rentre !
On s’aperçoit qu’on a du
ventre
Pour y faire face…on se
rentre !
Le 06/06/11.
Pascal GERMANAUD
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