La réalité est au souffre
Souffle allumett’,
souffre-douleur !
Il n’est pas de bonheur au
gouffre
Au gouffre des gens en
couleurs
Les nouveautés sont même
amères
I-phones qui nous rendent
sourds
Explosion des prothès’s
mammaires
Et laïus bios à la bass’
Cour
La pendule est remise à
l’heure
L’heure des règlements
d’acomptes
Il n’est pas un jour sans
malheurs
Malheurs que les journaux
racontent
L’actualité bat son plein
Son plein de hain’, son
plein d’essence
L’Essenc’ de l’Homme qui se
plaint
De son manque
d’effervescence
La cruauté a une odeur
Une odeur de cadavre exquis
Pour d’opportunistes rôdeurs
Rôdant autour de leurs
marquis
La pendule est remise à
l’heure
L’heure des règlements
d’acomptes
Il n’est pas un jour sans
malheurs
Malheurs que les journaux
racontent
La cupidité est un leurre
Un leurre pour les économes
Ceux qu’on nomme comme
voleurs
Sans valeurs dans l’
capharnaüm
La crédulité des meilleurs
Meilleurs rêveurs dans ce
bas-monde
Permet de voyager ailleurs
Quelques minut’s, quelques
secondes
La pendule est remise à
l’heure
L’heure des règlements
d’acomptes
Il n’est pas un jour sans
malheurs
Malheurs que les journaux
racontent
La simplicité des plus
dignes
Signe de richesse intérieure
Rit au nez des porteurs de
guigne
Ceux-ci nés de l’humaine
erreur
La crédulité des meilleurs
Meilleurs rêveurs dans ce
bas-monde
Permet de voyager ailleurs
Quelques minut’s, quelques
secondes
La pendule est remise à
l’heure
L’heure des règlements
d’acomptes
Il n’est pas un jour sans
malheurs
Malheurs que les journaux
racontent.
Le 3/01/12.
Pascal GERMANAUD
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